Dans un contexte où le gouvernement n’a jamais autant compté sur les organismes communautaires pour soutenir les personnes en situation de vulnérabilité, le RQ-ACA déplore le manque de soutien financier de sa part.
Le 4 juin 1995, plus de 800 femmes arrivent à Québec en provenance de Montréal, Longueuil et Rivière-du-Loup. Elles sont accueillies par une foule de 15 000 personnes. À l’époque, le Québec sort à peine d’une grave récession et plus de 20% des ménages québécois vivent sous le seuil de la pauvreté.
La Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes joint sa voix à celle de multiples autres acteurs pour demander aux gouvernements fédéral et du Québec de reconnaître l’apport exceptionnel des personnes immigrantes à l’effort socio-sanitaire et de faciliter l’obtention de la résidence permanente et l’accès à l’ensemble des services et mesures de soutien pour les personnes à statut précaire.
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Le Collectif pour un Québec sans pauvreté et une trentaine d’organisations nationales alliées demandent au gouvernement québécois une aide d’urgence pour les personnes à faible revenu. Une solution envisageable serait d’utiliser le crédit d’impôt pour solidarité.
Alors que nous nous adaptons à cette nouvelle vie de confinement, nous avons pu voir les vrais héros - devrait-on dire les vraies héroïnes? - s’armer de courage et sauver le Québec au péril de leur propre santé. Cette guerre mondiale contre le Coronas virus appelle les femmes à aller au front, les soldates du travail invisible sont en marche.
Une soixantaine de groupes se joignent au Front commun des personnes assistées sociales du Québec pour attirer l’attention sur la nécessité de faire preuve de souplesse administrative et d'augmenter les ressources financières des personnes les plus vulnérables afin de leur permettre de respecter les consignes de santé publique concernant la pandémie de la COVID-19 et de protéger leur santé.
L’R souligne le lancement des mobilisations entourant la MMF au Québec auxquelles les 82 centres de femmes membres de L’R se joindront. Ces mobilisations se feront autour de cinq principaux enjeux. Celui de la violence faite aux femmes résonne tout particulièrement au sein de notre réseau.
Cinq regroupements dont L’R des centres de femmes unissent leurs voix pour demander au gouvernement Legault d’investir dans un grand chantier de logements sociaux dès son prochain budget et d’instaurer un contrôle obligatoire et universel du prix des loyers. Ils annoncent aussi une série d’actions et d’activités régionales qui auront lieu en mars afin de porter ces revendications.
L’R demande au gouvernement du Québec de considérer les impacts potentiels sur les femmes avant de prendre des décisions politiques.
L’R des centres de femmes du Québec
469, rue Jean-Talon Ouest, bureau 418
Montréal, Québec H3N 1R4
514 876-9965
Télécopieur : 514 876-9176
