Les personnes élues nous représentent-elles vraiment en matière de violences sexuelles?
Que faisons-nous lorsqu’une victime porte plainte contre une personne ayant une fonction essentielle ou un poste d’autorité dans nos communautés? Comment justifier le fait que nous permettons à une personne élue accusée d’un délit criminel de continuer de représenter sa population?