Nous, collectifs féministes de la Maison Parent-Roback, exprimons notre totale solidarité aux communautés musulmanes durement frappées par un attentat qui a fait 50 morts ce vendredi 15 mars aux deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande.
Le colloque vise à créer un espace d’échange d’expertise sur l’écart entre la réalité des victimes et l’accès à la justice. Quant à la consultation – réalisée conjointement avec plusieurs regroupements nationaux – elle cherchera à mettre en lumière des solutions structurantes.
Le colloque, intitulé « Justice à l’ère du #MoiAussi », vise à créer un espace d’échange d’expertise sur l’écart entre la réalité des victimes et l’accès à la justice. Quant à la consultation – réalisée conjointement avec plusieurs regroupements nationaux – elle cherchera à mettre en lumière des solutions structurantes.
Alors que de vieux débats identitaires continuent de faire les manchettes, plusieurs se questionnent sur l'inclusivité de leurs propres lieux de travail et d'implication sociale.
Alors que les consultations pré-budgétaires se terminent, les groupes sociaux d’un très large horizon réunis au sein de la Coalition Main rouge et de la Campagne Engagez-vous pour le communautaire unissent leurs voix pour demander un budget pour la justice et l’équité sociale.
Les centres de femmes effectuent des fonctions de première ligne auprès des femmes victimes de multiples formes de violences, mais n’ont pas le financement adéquat pour le faire, une situation alarmante tant pour les femmes qui ont besoin de ces services, que pour les intervenantes de première ligne et les organismes.
Devant la dégradation des conditions de détention des femmes à la prison Leclerc et devant l’inaction des autorités, la Coalition d’action et de surveillance sur l’incarcération des femmes au Québec a saisi l’ONU de l’enjeu. La Coalition a également rencontré la Protectrice du citoyen pour lui demander de faire une enquête d’urgence sur les conditions de détention au Leclerc.
Les centres de femmes effectuent des fonctions de première ligne auprès des femmes victimes de multiples formes de violences, mais n’ont pas le financement adéquat pour le faire, une situation alarmante tant pour les femmes qui ont besoin de ces services, que pour les intervenantes de première ligne et les organismes.
L’R appuie la grève des stages afin que ces derniers soient rémunérés. Nous demandons un rehaussement du financement des organismes communautaires conséquent avec cette demande et une augmentation des enveloppes budgétaires des secteurs concernés afin d’être en mesure d’assurer une rémunération décente aux personnes qui effectuent des stages.
Pour vous procurer une copie de ce livre au Québec, plusieurs options s’offrent à vous.
L’R des centres de femmes du Québec
469, rue Jean-Talon Ouest, bureau 418
Montréal, Québec H3N 1R4
514 876-9965
Télécopieur : 514 876-9176
